Par Mufoncol Tshiyoyo
Heureux le peuple qui prie, chante et danse au Congo alors que le piège anglo-saxon se resserrerait autour du pays…
La particularité de la guerre hybride imposée au Congo réside dans le fait que sa fin est indépendante de la volonté réelle ou irréelle de parties, dont la fonction principale demeure l’entretien du caractère hybride la guerre. Pour lors, son amplification ou sa poursuite dépendrait avant tout de l’autorisation tacite ou pas de sa source originale. Ici, c’est l’extérieur.
Aujourd’hui, serions-nous en train d’aller vers l’implosion du Congo comme des enfants ont naïvement décidé de jouer avec le feu anglo-saxon, rallumé au Congo. Et ce, à travers des multiples tentacules représentatif de l’ordre anglo-saxon au Congo.
De ce fait, la fin de la guerre importe peu. Plutôt le sens à donner à la phrase d’un ancêtre anglo-saxon, bien connu sous le nom de Kissinger : dommage que les deux ne puissent pas perdre. Cela nous renverrait aussi bien aux origines de la guerre Iran-Irak qu’à la naïveté de Saddam Hussein. Jusqu’à preuve du contraire, l’homme investissait sa foi en l’amitié anglo-saxonne qui aurait été en sa faveur, semble-t-il. Fin de fin, l’homme fut pendu, livré intentionnellement à ses bourreaux irakiens préalablement sélectionnés.
Aujourd’hui, serions-nous en train d’aller vers l’implosion du Congo comme des enfants ont naïvement décidé de jouer avec le feu anglo-saxon, rallumé au Congo. Et ce, à travers des multiples tentacules représentatif de l’ordre anglo-saxon au Congo. Une fois encore, les Anglo-saxons sont à la manœuvre avec leurs ouailles. Personne n’est en mesure de révéler en toute franchise ce que racontent les parrains aux uns quand ils les rencontrent. Et quoi, ils soufflent aux oreilles des autres à leur tour.
Par ailleurs, la journaliste française Lucie Mouillaud apporte une autre indice assez révélateur au moulin. Dans son article « Au Rwanda, l’influent général James Kabarebe, mis à la retraite de l’armée, passe à la diplomatie » (Le Monde Afrique), la dame avise, je cite notamment : la nomination de l’ex-chef d’état-major, tombeur de Mobutu au côté de Laurent-Désiré Kabila en 1997, est un message fort envoyé par Kigali à Kinshasa. Une manière efficace de conquérir le véritable pouvoir existe. Gare au peuple absent à la rescousse de Lumumba. Dans le cas du Congo, seule la vraie lutte s’impose. Celle qui oppose des hommes aux hommes.
Oyo eza likambo ya mabele, likambo ya mabele eza likambo ya makila…
Mufoncol Tshiyoyo, M.T.
Au nom de la Dissidence congolaise, « D »