Par Mufoncol Tshiyoyo
Après Kisangani, la soldatesque ougandaise au Congo. Et, si la stratégie ougandaise était de provoquer un énième « coup d’État » militaire au Congo ?
Les États mercenaires comme d’ailleurs leurs parrains, nous avons ici affaire aux élites Anglo-saxonnes sous les ordres desquelles opèrent le Rwanda et l’Ouganda, ne survivent que grâce à une confusion bien entretenue dans le pays cible ; grâce à la division des populations à dominer et dominées ainsi qu’au moyen d’une instabilité politique permanente. À défaut, toutes ces forces se condamnent à la disparition dès l’instant où leur raison d’être cesse de se justifier.
Les États mercenaires comme d’ailleurs leurs parrains ne survivent que grâce à une confusion bien entretenue dans le pays cible ; grâce à la division des populations à dominer et dominées ainsi qu’au moyen d’une instabilité politique permanente.
L’Ouganda et le Rwanda n’ignorent pas que leur présence sur le sol congolais engendre un sérieux mécontentement. Affirmons-le en passant un état qui leur est bénéfique dans l’ensemble.
Ce serait pourquoi pas l’un de leurs objectifs poursuivis. L’instabilité dans le pays cible assure la dépendance de vassaux locaux. Ces derniers cherchant à se faire adouber à la tête du pouvoir-os (s’y maintenir par tous les moyens et le plus longtemps que possible).
En un mot comme en cent, nous ne souhaitons jamais que ni l’Ouganda ni le Rwanda ne conservent l’initiative de leurs actions sur le territoire congolais. Le plus grand danger serait d’attendre et d’observer alors que la réalité imposée prend corps. L’Union de la nation, des filles et des fils du Congo profond, s’impose par tous les moyens.
Mufoncol Tshiyoyo, M.T.
« D », La Dissidence