Par Bakolokongo | Publié le 12/02/2012.
Les masques sont tombés sur la disparition de l’Imposteur et Usurpateur d’identité nationale congolaise, depuis sa prestation de serment. D’après une source concordante de bakolokongo.com depuis Goma, Joseph Kabila qui serait porté disparu depuis son serment, se trouverait caché à l’est du pays, plus probablement au Rwanda. C’est depuis le territoire rwandais que Joseph Kabila donne des ordres à ses collabos sous la supervision de Katumba Mwanke.
C’est depuis le territoire rwandais que Joseph Kabila donne des ordres à ses collabos sous la supervision de Katumba Mwanke, son conseiller principal à la mafia internationale et occupation. Joseph Kabila se deplace du Rwanda à Goma pour des audiences de travail avec ses collabos sous haute discrétion.
D’après notre source, juste avant l’accident de l’avion qui transportait Augustin Katumba Mwanke et d’autres collabos, un dispositif sécuritaire impressionnant a été constaté dans la ville de Goma, dernière destination de grands passagers de l’avion. La population abasourdie n’avait pas compris le bien fondé de cette disposition et d’autres mouvements suspects qui ressemblaient habituellement à la sécurisation de Joseph Kabila partout où il passe sur le territoire congolais. Ce n’est qu’après le crash du jet qui transportait ces dignitaires que l’opinion s’est bien rendu compte et a réalisé que l’Homme fort de Kinshasa, l’Imposteur Joseph Kabila devait se trouver présentement et discrètement à Goma, destination finale de ce vol de fortune.
En effet, Augustin Kantumba Mwanke aurait embarqué ces agents pour les conduire discrètement chez son maitre à l’est du pays pour recevoir des ordres. Tous ces collabos dont Augustin Katumba Mwanke, conseiller du président (mal réélu) Joseph Kabila, Augustin Matata Ponyo, ministre congolais des Finances, Marcelin Tshisambo, le gouverneur du Sud-Kivu (est) et le député Antoine Ghonda, ancien ambassadeur itinérant du président Kabila se rendaient discrètement à Goma en passant par Bukavu où d’autres membres de la délégation devraient être embarqués sur invitation de l’imposteur de Kinshasa qui aurait trouvé refuge à l’est du pays, pour une séance de travail au cours de laquelle ils devraient recevoir instructions et ordres. Mais le sang précieux de nos ancêtres les a confondus et la mission discrète a tourné au vinaigre.
Un grand jour pour les Combattants Résistants et la diaspora congolaise qui ont accueilli avec satisfaction cette tragédie! Les collabos vont tous finir les un après les autres dans des conditions imprévisibles. Les patriotes regrettent et se posent la question pourquoi d’autres collabos tels Lambert Mende, Evariste Boshab, André Kimbuta, Bisengimana,… n’etaient-ils pas de la partie. Selon nos sources, le bilan de l’accident serait très lourd : plusieurs corps inanimés encore non identifiés ont été trouvés sur le lieu du crash.
Cette tragédie intervient quelques jours seulement après le passage du chef de la Défense belge en visite au Congo, général Charles-Henri Delcour à Kigali et Brazzaville où il a été négocier le maintien de Joseph Kabila au pouvoir à la place de Louis Michel. Celui-ci devrait normalement se rendre à Kinshasa engager les pourparlers avec l’opposition pour la formation d’un gouvernement d’union nationale sous la présidence de Joseph Kabila. Ce dernier ayant été vaillamment décrié par l’opinion nationale et internationale, a été basculé pour se faire remplacer par le général Charles-Henri Delcour, chef d’état-major de l’armée belge, lequel a été dépêché en toute discrétion afin de contourner l’attention de l’opinion pour le même objectif. Même ses sinistres visiteurs de marque connaitront le même sort en RDC.
Des questions se posent sur le mobile du crash: est-ce un accident ou un attentat criminel des forces de résistance qui combattent le régime de Joseph Kabila?
Par Bakolokongo