La musique, élément essentiel de la culture, est un révélateur de l’état de santé de la société congolaise. Les « stars » de la musique congolaise sont donc les ambassadeurs de l’identité congolaise dans le monde entier. Sans réelle limite, l’hyper-sexualisation de la musique populaire congolaise nous interpelle. Sans tomber dans dans un discours puritain ou moralisateur, comment valoriser la culture congolaise avec cris comme « sima ekoli » (les fesses ont grossit) ou « ba mama pesa sima » (Que les filles présentent leur fesses).
Comment sensibiliser le monde sur la tragédie des viols en RDC, quand ses ambassadeurs culturelles les plus célèbres (les musiciens) affichent l’obscénité comme une normalité, qui pourtant est loin de la pudeur Bantu.
Danseuse de Werrason au Stade de France devant les télévisions du monde entier.
http://www.youtube.com/watch?v=jRRYia_WpNc
Éxtrait de la danse « Sima ekoli »