Source: AllainJules.com & DIAF-TV
Après avoir lu l’opuscule de Patrick Mbeko, vous ne verrez plus le Rwanda de la même manière, encore moins son « génocide ». Il y aura sans doute des accusations de révisionnisme ou négationnisme pour disqualifier Patrick Mbeko. Ce livre d’investigation intitulé Le Canada et le pouvoir tutsi du Rwanda (deux décennies de complicité criminelle en Afrique centrale) est celui qu’il faut avoir dans sa bibliothèque. Le politologue, géopolitologue, écrivain et analyste des questions géopolitiques et stratégiques, Congolo-Canadien Patrick Mbeko déconstruit avec brio la version officielle des événements tragiques qui se sont déroulés au Rwanda en 1994.
Ce livre fera couler beaucoup d’encre et de salive. Il n’y a pas de doute possible. Documenté à souhait, il vous glace le sang. Se basant essentiellement sur des faits, il met à nu le mythe de ce soi disant « génocide tutsi », qui a donc été préfabriqué honteusement sur le dos de nombreux morts, hutus comme tutsis, embarqués dans un tourbillon diabolique orchestré par les Etats-Unis, l’Angleterre et le Canada, contre la France. Côté africain, ou plutôt ougando-tutsi, un duo de choc: Yoweri Musuveni et Paul Kagamé, deux tueurs à gages au service de la CIA. Fichtre. Cette histoire rocambolesque de la fabrication galvaudée d’un président sanguinaire, Juvénal Habyarimana, plutôt exempt de tous les torts à lui reprochés.
Plus vous avancez dans la lecture, plus vous découvrez des anecdotes hautes en couleurs, que dis-je, des écrits sans concession qui annoncent la fin d’un mythe. C’est cette histoire des fausses condamnations, sans preuve et fantaisistes des supposés génocidaires. Posons-nous un instant sur le cas du chanteur à succès Corneille de son vrai nom Cornelius Nyungura. L’homme, de père tutsi et de mère hutu, compte tenu de sa notoriété, préfère se taire alors que c’est le pouvoir tutsi qui est le bourreau de sa famille. Diantre. Le livre est ainsi traversé par moult anecdotes croustillantes qui vous font douter de la nature humaine.
Les cas de Yoweri Museveni et de son complice Paul Kagamé se passe de commentaire. Deux êtres au visage hideux, écumes d’Afrique et adeptes du sang frais. Le parrain, Museveni, et son poulain, Kagamé, sont deux monstres. Le deuxième étant sans aucun doute le chef d’Etat en fonction le plus sanguinaire mais, surprise, le plus « respecté » et « adulé » par les Occidentaux. Dans son placard, le meurtre de sans froid de deux présidents en fonction, le président Juvénal Habyarimana du Rwanda et celui du Burundi Cyprien Ntaryamira-aucune enquête à ce jour-, après l’attentat contre leur avion. Assassins de milliers de hutus et de tutsis et surtout, plus de 5 000 000 de Congolais. C’est acté et les annexas du livre le prouvent. Traitres de l’Afrique, les deux hommes s’associent avec les Etats-Unis et le Canada, non seulement pour piller le République démocratique du Congo (RDC) -le génocide occulté-, vrai génocide au moins, sans que personne ne se lève pour dire NON.
Avez vous remarqué le traitement réservé à Yoweri Museveni pour la validation de la loi anti-homosexuelle dans son pays ? Aux antipodes de celui infligé à Robert Mugabe président du Zimbabwe, non ? Normal, c’est l’homme des bases besognes américaines et par conséquent, tout lui est épargné. De l’autre côté comment est-il possible d’expliquer la longévité de Paul Kagamé au pouvoir ? C’est pratiquement impossible dans la mesure où lui, le tutsi, d’ethnie minoritaire par rapport aux hutus, ne peut rester au pouvoir si ce n’est grâce à l’appui américain. Patrick Mbeko était sur DIAF TV pour nous parler de son enquête irréfragable.