Dans ce nouvel épisode de Congologie, Kambale Musavuli revient sur le rôle des USA et de leurs multinationales dans le pillage et la déstabilisation du Congo, rappelle pourquoi Kagamé est le Léopold II des temps modernes et expose des idées et stratégies pour que les congolais de la diaspora s’organisent et s’impliquent là où ils vivent dans l’activisme politique et citoyen en faveur du Congo.
L’idée est que les congolais, où qu’ils soient, doivent s’organiser pour faire pression sur les gouvernements et décideurs de leurs pays de résidence afin qu’à leur tour, ils fassent pression à Kinshasa pour déverrouiller l’espace public et médiatique et les libertés fondamentales.
[…] Les consultations initiées par Mobutu en janvier-février 1990 et la CNS (07 août 1991- 06 décembre 1992) n’ont pas impliqué de près ou de loin les acteurs majeurs du ‘’nouveau désordre mondial’’. Ce faisant, les Congolais(es) ont procédé à un diagnostic insuffisant du ‘’mal zaïrois’’. Il pourrait en être de même si le dialogue demandé par l’opposition congolaise participant majoritairement au programme ‘’Tomikotisa’’ coaché par ‘’les supplétifs’’ des acteurs majeurs de ce ‘’nouveau désordre mondial’’ n’implique pas ceux qui ont confisqué le cuivre, le coltant, l’uranium, le cobalt congolais, etc. comme l’explique très bien notre compatriote Kambale Musavuli sur Ingeta Web[8]. […]
[…] Les consultations initiées par Mobutu en janvier-février 1990 et la CNS (07 août 1991- 06 décembre 1992) n’ont pas impliqué de près ou de loin les acteurs majeurs du ‘’nouveau désordre mondial’’. Ce faisant, les Congolais(es) ont procédé à un diagnostic insuffisant du ‘’mal zaïrois’’. Il pourrait en être de même si le dialogue demandé par l’opposition congolaise participant majoritairement au programme ‘’Tomikotisa’’ coaché par ‘’les supplétifs’’ des acteurs majeurs de ce ‘’nouveau désordre mondial’’ n’implique pas ceux qui ont confisqué le cuivre, le coltant, l’uranium, le cobalt congolais, etc. comme l’explique très bien notre compatriote Kambale Musavuli sur Ingeta Web[8]. […]